Extraire / Sans fond ni fin
Extraire, série de 7 assemblages photographique, textuel et volume, 21x29,7 cm, Reims (FR) 2024
Sans fond ni fin, vidéo diptyque noir et blanc de 5 min, Reims (FR) 2024
Lettres non-écrites, variations
Extraire et Sans fond ni fin ont été réalisé sur invitation de la Fileuse et de la Comédie de Reims autours des Lettres non-écrites de David Gegelson. Ces lettres de façon globale tournent autour du deuil d’une histoire passée, d’une histoire qui se passe ou qui aurait dû se passer. Extraire consiste a des phrases partielles qui évoquent cette impression en transposant ce sentiment de deuil et de prédeuil (thématique récurrente dans ma pratique) sous une forme fictionnel en assemblant différent éléments sous forme de série. La photographie comme témoin d’un instant t, certaines choses changent, d’autres pas. En 10x15 comme un format standard proche de l’album, accentue la dimension intime.
Sans fond ni fin est une réflexion sur la mémoire et la perception. Un souvenir peut être perçu d’une autre manière par une autre personne ayant partager la même expérience. Une perception double traduit en vidéo diviser en deux en partant d’un seul cadrage, les deux parties sont tantôt décalé, inversé ou ralenti. Le regard a de la difficulté à faire une vision d’ensemble et doit choisir un côté ou l’autre de la vidéo. Les images sont des plan fixes réflexion sur la fluidité du vent, de l’eau du temps.
Sans fond ni fin, vidéo diptyque noir et blanc de 5 min, Reims (FR) 2024
Lettres non-écrites, variations
Extraire et Sans fond ni fin ont été réalisé sur invitation de la Fileuse et de la Comédie de Reims autours des Lettres non-écrites de David Gegelson. Ces lettres de façon globale tournent autour du deuil d’une histoire passée, d’une histoire qui se passe ou qui aurait dû se passer. Extraire consiste a des phrases partielles qui évoquent cette impression en transposant ce sentiment de deuil et de prédeuil (thématique récurrente dans ma pratique) sous une forme fictionnel en assemblant différent éléments sous forme de série. La photographie comme témoin d’un instant t, certaines choses changent, d’autres pas. En 10x15 comme un format standard proche de l’album, accentue la dimension intime.
Sans fond ni fin est une réflexion sur la mémoire et la perception. Un souvenir peut être perçu d’une autre manière par une autre personne ayant partager la même expérience. Une perception double traduit en vidéo diviser en deux en partant d’un seul cadrage, les deux parties sont tantôt décalé, inversé ou ralenti. Le regard a de la difficulté à faire une vision d’ensemble et doit choisir un côté ou l’autre de la vidéo. Les images sont des plan fixes réflexion sur la fluidité du vent, de l’eau du temps.