J'ai l'impression qu'elle laisse passer ceux qui n'espèrent plus rien
Installation temporaire in situ, médiums mixtes, dimensions variables, Rawdon (CAN) 2015
Ce projet est une série d’interventions réalisées dans le sentier du parc des chutes Dorwin, site touristique de ma région natale où des noyades y sont constatées chaque année. J’accentue et génère une ambiance inquiétante propre à l’imaginaire du site en m’appuyant sur une citation du film Stalker d’Andrei Tarkovski décrivant la zone : J’ai l’impression qu’elle laisse passer ceux qui n’espèrent plus rien. En intégrant des éléments à la fois photographiques et des objets réels, je propose une fiction à travers un parcours comme décor d’un récit incertain. Un des détails présentés ici est une photographie de pieds imprimée à échelle réelle, montée sur bois et installée en périphérie du sentier de façon à créer un trompe-l’œil pour les passants..
Ce projet est une série d’interventions réalisées dans le sentier du parc des chutes Dorwin, site touristique de ma région natale où des noyades y sont constatées chaque année. J’accentue et génère une ambiance inquiétante propre à l’imaginaire du site en m’appuyant sur une citation du film Stalker d’Andrei Tarkovski décrivant la zone : J’ai l’impression qu’elle laisse passer ceux qui n’espèrent plus rien. En intégrant des éléments à la fois photographiques et des objets réels, je propose une fiction à travers un parcours comme décor d’un récit incertain. Un des détails présentés ici est une photographie de pieds imprimée à échelle réelle, montée sur bois et installée en périphérie du sentier de façon à créer un trompe-l’œil pour les passants..